William Arthur Middleton
Copyright : Paul Walker Messages : 13 Points Rp : 5 Age : 41 Localisation : Playa Samara ~ Costa Rica
Feuille de personnage Âge : 28 ans Métier : Puissance : (23/91)
| Sujet: William Arthur Middleton [en cours] Dim 27 Nov - 11:20 | |
| « William Arthur Middleton » feat Paul Walker
| ÂGE ♠ 28 ans
ORIENTATION SEXUELLE♠ Hétérosexuel
CLAN ♠ Peuple des animorphes
PROFESSION♠ Mercenaire
PUISSANCE MAXIMALE♠ 91/100
PUISSANCE ACTUELLE♠ 23/91
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Min. 15 lignes. Vous savez ce que sûr de soi signifie ? Et bien ajoutez lui une pincée d'orgueil, une bonne dose de susceptibilité, une agaçante tendance à répliquer, une belle gueule et un certain charisme et vous obtiendrez le première impression qu'offre Will à ses prochains. Possédant une confiance en lui à toute épreuve ( au point que c'en est extrême) il en devient même parfois un peu arrogant, mais ne vous avisez pas à lui en faire la remarque sous peine d'une joute verbale mémorable de laquelle vous sortirez, si ce n'est perdant, pour le moins désorienté.
Malgré cette tendance qui le ne lui vaut pas que des amitiés, Will reste un bon gars, généreux, il se soucie énormément des gens qu'ils aiment et est un homme d'une loyauté et d'une fidélité sans faille. Un peu tête de mule; il préfère voir dans ce trait de caractère que certains voient comme un défaut, la manière de ne jamais lâcher prise et de toujours arriver à ses fins. Cette combinaison de loyauté et de détermination faut de lui l'un des mercenaires les plus respectés et sollicités de l'Organisation Salvatore. Cependant, chose qui déplaît à son père, Will ne possède pas cet esprit d'innovation, cette ambition qui caractèrise les meneurs d'homme...Et l'héritier dont aurait besoin Salvatore. Donner des ordres à Will ? Il n'y a pas de problèmes, il les suivra à la lettre et les accompliera en bonne et due forme. Mais prendre des initiatives ce n'est pas son genre.
Avec les gens, il reste un homme assez diffile à atteindre, même s'il reste toujours sympatique au premier abord, il est manipulateur et froidement calculateur. Pour cette raison il en coûte beaucoup réussir à compter sincérement pour lui, car s'il ne faillerait jamais à ces personnes qui peuvent se compter sur les doigts de la main, il n'en va pas de même avec le reste du monde, loin de là. Si vous lui êtes utile il sera enchanteur, mais ne soyez pas surpris, car quand il n'aura plus besoin de rien il vous oubliera aussi sec. La patience n'étant pas son fort non plus, il ne supporte pas qu'on lui résiste et s'emporte très vite. En amour, il est tout aussi fidèle qu'en amitié, mais de la même manière il est un homme difficile à conquérir, cependant il possède la grande vertue de ne s'approcher que des femmes qui l'interessent sincérement.
William est donc très loin d'être comme son père le souhaiterait, un meneur, mais ne vous l'écoutez pas s'il vous parle de lui comme d'un incapable : il reste malgré tout un homme des plus utiles en certaines conditions et des plus charmants ! «It's me, it's my story » Min. 30 lignes. Les premier pas. Il est intéressant de se rendre compte du pouvoir des mots, certains prétendent que ce ne sont que des bruits dans l’air que le vent emporte bien vite. Quelle naïveté ! Les mots nous définissent, ils nous forgent, nous fascinent. Celui qui sait manier le verbe possède un grand pouvoir, on ne peut en douter. IL peut créer des armées, ou bien les détruire, comme il le souhaite. Il contrôle le cœur des hommes. Mais il n’est bien souvent pas nécessaire d’être un maître des mots pour contrôler la vie d’un homme. Car il n’est pas plus grand pouvoir que de nommer. Nommer un nourrisson par exemple. Et William Arthur Middleton est un nom qui implique beaucoup de choses, de nombreuses responsabilités et beaucoup de poids sur les épaules d’une si petite chose. Et cela ne faisait que commencer.
Les deux premières années de sa vie furent assez mouvementées, sa mère le laissa au bon soin de son père, fatigué d’être mariée à un homme qu’elle ne voyait presque jamais et qui ne lui offrait que bien peu d’amour. Non que Salvatore Middleton soit un mauvais homme, loin de là, mais il avait tellement l’habitude de refouler ses sentiments que même ses proches avaient finis par souffrir de cette froideur omniprésente. Il ne dit rien quand elle annonça qu’elle le quittait. Aucune émotion ne s’afficha sur ses traits de marbre et Hélène Middleton qui ne le connaissait que trop peu, malgré toutes ces années, ne sut interpréter la drôle de lueur qui passa dans son regard. Tristesse, regret, colère, acceptation ? Elle ne le sut jamais.
Et c’est ainsi que sa mère sortit de la vie de William ; il ne se souvient même pas des traits de son visage et son père ne conserva aucune photo. Et plus tard il n’osa jamais lui demandé, il avait peur d’apprendre d’avoir été le fruit d’un accident, d’une nuit d’amour avec une prostituée… Il préférait presque ne pas savoir. Le petit William grandit donc bien seul et entouré de bien peu de démonstration d’affections. Par contre, on l’endurcit très tôt. Son père souhaitait faire de lui un héritier digne et ne lui fit aucun cadeau. Dès qu’il fut en âge de comprendre, Salvatore l’informa de ce qu’il appelait ses « responsabilités », et la première de celle-ci : toujours lui faire honneur. William gardait un souvenir très net, figé comme dans un vieux tableau, du bureau de son père, de la manière dont celui-ci s’était agenouillé face à lui, ses yeux bleus perçants le figeant sur place, la légère odeur de tabac qui lui avait chatouillé les narines. Chacun des détails étaient là, et il se souvenait de la ferveur qu’il avait mis à respecter cet engagement dans l’espoir de gagner son approbation.
Mais rien n’y faisait malgré toute sa ferveur, tous ses efforts, il n’était jamais assez bon. Et à neuf ans le jeune garçon commit une folie. New York était une ville en ruine, propice à toutes sortes de trafic et de divertissements pour le moins étrange. Un jour arriva un cirque. Enfin si l’on pouvait appeler ce bien triste spectacle d’animaux enchainés ainsi. Mais peu importe, ce n’était pas le spectacle qui attirait l’enfant mais bel et bien la sublime panthère noire qu’ils gardaient loin de la scène, bien trop sauvage pour pouvoir être approchée. Et bien du haut de ses neuf ans le petit William prit une décision, courageuse, mais aussi très stupide. Toute la journée il resta dans les parages du cirque, jeune garçon anonyme parmi tant d’autres, personne ne prêtait la moindre attention à ce gosse dépenaillé qui trainait au milieu des bêtes. Et quand la nuit tomba et que le spectacle commença, ce même mioche se faufila jusqu’à la cage du félin, une idée bien précise en tête.
C’était une bête magnifique, un poil d’un noir de jais, tout en mouvements fluides et puissants… Enfin dans les quelques mètres carrés que lui laissaient sa cage mal entretenue pour bouger. Fasciné par le fauve, William resta un long moment à l’observer, peiné de voir une telle beauté enfermée. Puis, sans réfléchir, il allongea la main à travers les barreaux et la toucha. Il sentit une étrange énergie l’envahir alors qu’il copiait son ADN de manière instinctive. Mais, même si tout d’abord interloquée, la panthère ne tarda pas à réagir, se retourna brusquement et le mordit au bras. Il hurla tandis que les mâchoires d’acier se refermaient sur sa peau. Les secours mirent exactement vingt-deux secondes à arriver. Vingt-deux secondes qui pour William durèrent une éternité. Quand enfin on eu fait reculé le fauve, son avant-bras était réduit à une charpie sanguinolente. On le soigna. Malgré la douleur, il se sentait fier d’avoir réussi à s’imprégner de son premier animal. Et quel animal ! Quand il fut sur pied son père l’appela, lui demanda ce qui c’était passé. Encore fier de lui, William lui répondit, expliquant la majesté du félin, et l’envie qu’il avait eu de pouvoir faire parti de lui. Ce fut une gifle qui le cueillit comme toute réponse, alors que dans les yeux de son père s’allumait la flamme de la colère. Bien entendu sous cette réaction démesurée c’était l’inquiétude et la peur terrible de perdre son unique enfant qui se cachait. Mais ce ne fut pas ce que William comprit. Pour lui il avait encore déçu son père malgré ses efforts. Il se sentait terriblement nul. Les trois années qui suivirent il les passa à s’entrainer sans relâche, il devint agile, rapide et fort. Doué également pour le vol à la tire, l’espionnage et le combat de rue avec les gosses de son âge. Mais rien n’y faisait ; il n’arrivait toujours pas à se sentir à la hauteur.
Une rencontre qui change tout. L’année de ses treize ans, William rencontra Miguel. Dans des circonstances qui rapprochent forcément deux jeunes voleurs comme ils l’étaient alors. Alors que Miguel faisait les poches de quelqu’un, cette personne s’en rendit compte et l’attrapa. Le moins que l’on puisse dire c’est que ça allait barder pour le jeune homme. Cela faisait un moment que William observait la scène de l’autre côté de la rue, à vrai dire, lui aussi avait pensé prendre le gros monsieur pour cible. D’un œil curieux il observait le garçon d’à peu près son âge s’approcher d’un air expert, et quand il lui vida les poches de quelques gestes vifs, il eut du mal à retenir un éclat de rire. Puis quand l’homme attrapa par le bras le jeune voleur, ce fut une grimace catastrophée qui s’empara de ses traits. Mû par une impulsion aussi subite qu’incompréhensible, il fonça tel un boulet de canon et poussa de toutes ses forces l’homme qui ne s’y attendait pas le moins du monde. Il se souvenait encore du regard surpris de son compagnon d’infortune. Ni une ni deux ils détalèrent comme des lapins poursuivis par le gros homme en rage. Ils n’eurent pas de mal à le semer. Et au fil de la course poursuite se forgea le début d’un lien spécial entre les deux garçons, lien que les années allaient rendre indestructibles.
Plus tard William introduisit son ami dans l’organisation où celui-ci se mit à briller, réussissant tout ce qu’on lui demandait d’une manière impeccable, s’attirant nombre de compliments de la part du père de William. Bien sûr cela avait un goût plutôt amer pour le garçon, mais il aimait bien trop son seul ami pour laisser la pointe de jalousie qu’il ressentait ternir leur relation. Ils devinrent inséparables et firent les quatre cent coups. Puis vint l’âge adulte et le travail sérieux.
L’Organisation Salvatore Middleton était parti de rien et avait réussi à forger un véritable empire. Des gens gênants à éliminer, une chose précieuse à « récupérer », besoin d’une escorte ? La première personne à qui l’on pensait c’était lui. Il avait sous ses ordres nombres d’hommes de confiance, formés à n’accepter que l’excellence. William et Miguel finirent par faire parti intégrante du système. Mais tout ne fut pas si facile. Ce fut Miguel qu’on envoya, avant Will, pour sa première mission « sérieuse ». Le sérieux de l’affaire ? Un meurtre, ni plus, ni moins. Il n’en parla jamais quand il revint de sa mission, qui fut une complète réussite. Will le trouva changé, mais ne dit rien, bien trop préoccupé par ce qui l’attendait : c’était son tour. Ce n’était pas une mission difficile, il devait s’en rendre compte peu après, mais elle contenait tout de même un facteur qui lui paraissait insurmontable : tuer. Il devait achever un vieil homme malade qui ne semblait pas se décider à mourir et qui aurait laissé par là même un gros héritage… Rien de difficile à organiser, surtout avec l’appui discret de la famille. Pour William s’introduire dans la maison jusqu’à la chambre du vieux fut un vrai jeu d’enfant. De plus, le vieil homme dormait, il ne verrait même pas le coup venir. Il n’y avait rien de plus facile. Une des conditions du contrat ? Pas de sang. Il devait donc l’étouffer. William resta un long moment dans le noir, rassemblant son courage. Mille fois il fut sur le point de refermer ses mains sur la gorge maigre de vieux. Mille fois il s’arrêta à deux millimètres de sa peau. Finalement ce furent les circonstances qui lui rendirent la tâche plus facile. Sa victime, sans doute dérangée par toute cette agitation autour de son visage, se réveilla et, voyant l’homme cagoulé au-dessus de lui, se mit à hurler de toute la force de ses poumons, arrachant un bond à Will. L’instinct prit la place sur l’indécision, et, telles des serres, ses mains attrapèrent la gorge. Il était dans un état second : tout ce qu’il voulait c’était que ces cris cessent. Ce ne fut que quand le vieil homme arrêta de se débattre qu’il se rendit compte de ce qu’il avait fait. Il s’enfuit en courant, car si toute l’action n’avait pas durée plus de deux minutes, il ne faisait aucun doute que ces hurlements avaient dû alerter tout le voisinage. Comme un automate, mû par un instinct de survie plus fort que tout, il courut. Il courut sans réfléchir, ombre dans la nuit noire, et ce ne fut que bien après qu’il s’arrêta… Pour rendre tripes et boyaux dans un caniveau. Ce n’était pas une mission difficile. Mais même s’il s’en rendit compte peu de temps après, au jour d’aujourd’hui elle reste pour lui le plus dur qu’il ait jamais accompli. Et, croisant le regard glacé de son père le lendemain, il sut. Il sut qu’il était au courant. Qu’il savait sa faiblesse. Et plus jamais il ne faillât à donner la mort. Il avait quinze ans et cela le changea profondément, enfouissant sous une carapace qui il était vraiment, faisant de lui le William que l’on connait aujourd’hui, mais malgré cette protection il lui arrive encore d’entendre les hurlements du vieil homme dans ses rêves. Il ne connaissait même pas son nom. L’âge adulte. Le temps aidant il devint excellent dans ce qu’il faisait. Mais Miguel le dépassait ; depuis sa première mission son ami, déjà très bon, s’était encore amélioré, il mettait une espèce de hargne dans tout ce qu’il faisait, accomplissait toujours parfaitement ses missions, sans aucunes bavures. Cela lui permit de gravir les échelons de l’organisation à une vitesse folle, s’attirant l’admiration et la protection de Salvatore. William se devait d’être sincère avec lui-même. Il adorait son ami, ferait n’importe quoi pour lui, mais, une jalousie dévorante commençait à le consumer. Lui, il avait beau essayer, il n’arrivait pas à l’égaler, certes il était très bon, mais il restait l’éternel second, dans l’Organisation, mais surtout aux yeux de son père. Mais Miguel était, pour ainsi dire son seul ami, et, heureusement William restait assez beau joueur pour ne pas rejeter la faute sur lui. Mais il n’en ressentait pas moins un certain sentiment d’infériorité. Puis, à la surprise générale, Miguel décida de quitter l’Organisation. William ne sut comment réagir. Il était triste de le voir partir certes et se sentait un brin abandonné, mais en toute honnêteté cela lui apportait enfin l’occasion qu’il attendait pour pouvoir briller. Ils se firent la promesse de rester en contact. Mais pendant les années qui suivirent ils finirent par se perdre un peu de vue. William devint le meilleur au sein de l’Organisation, mais cela ne changea pas grand-chose, en tout cas pour la personne au près de laquelle cela lui importait vraiment. Alors peu à peu il commença à se faire un raison et ses relations, déjà peu chaleureuses avec son père, devinrent froides et impersonnelles. Will réussit à se désolidariser de ce besoin de briller, désormais il accomplissait ses missions pour le plaisir du travail bien fait, et parce que c’était la seule chose qu’il savait faire. La seule chose qui, inconsciemment, lui manquait ? Se trouver une véritable raison pour vivre, quelque chose qui le rendrait le suffisamment heureux pour bannir à tout jamais cette insécurité qu’il ressentait au fond de lui et cachait si bien. - Spoiler:
Récapitulatif de ses transformation : Animaux de grande taille : panthère noire, cheval, berger allemand et requin marteau Animaux de petite taille : corbeau, mulot et lézard vert
| Nom/pseudo:Appelez moi Lyne
Âge:17 ans depuis le 6 septembre
Code Règlement : Sacha dit : « C’est ok ! » Comment as-tu connu le forum ?Hmmm top-site =)
Quelle note donnes-tu au forum ?il me reste à voir l'ambiance mais je peux dire que le contexte m'attire enormément et que les graphismes sont superbes so 9/10 pour le moment !!
Des suggestions ?Pas de suggestions pour le moment non, par contre j'ai une petite question, pour l'histoire de William je me contente de ce que dit la fiche prédéfinie ou je la réecris en respectant l'information ? Et quelle est sa puissance actuelle ?Merci d'avance !
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Fiche réalisée par Never-die (c) |
Dernière édition par William Arthur Middleton le Mar 6 Déc - 12:53, édité 10 fois |
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Sacha M. Dern
Copyright : CHAMALLOW Messages : 308 Points Rp : -3 Age : 33
Feuille de personnage Âge : vingt-trois ans Métier : Puissance : (12/99)
| Sujet: Re: William Arthur Middleton [en cours] Ven 2 Déc - 6:25 | |
| Bonsoir Wili ! Ta fiche de présentation est satisfaisante néanmoins, quelques incompréhensions persistent : Premièrement, concernant son caractère. Dans sa fiche prédéfinie il est indiqué dans les défauts de William : " Trop confiant en lui ". Ainsi, il y a quelques passages dans ton écrit qui ne correspondent pas à ce trait de caractère : - William Arthur Middleton a écrit:
- Quand une femme lui plaît sincérement ce fier jeune homme devient tout un coup beaucoup plus humble et doute légèrement de lui-même,
[...] William resta un long moment dans le noir, rassemblant son courage. Peut-être que d'autres phrases seraient à revoir. Il faut bien avoir en tête que Wili est un personnage qui n'hésite pas à agir. Il fonce, d'ailleurs tu en parles très bien dans son caractère. Son défaut demeure dans le fait qu'il manque d'iniatives. Il attend les ordres et ne prend aucune décision. Pourtant quand on lui confie une tâche, il assure. C'est donc de là que William n'a pas le niveau pour devenir un meneur. Ensuite, concernant l'acquisition de l'ADN. - William Arthur Middleton a écrit:
- Mais, même si tout d’abord interloquée, la panthère ne tarda pas à réagir, se retourna brusquement et le mordit au bras.
L'animal dont tu absorbes l'ADN devient totalement amorphe lors du processus. Il mettra quelques secondes avant de se réveiller. Voilà ce dont je peux faire état actuellement. Si cela manque de précisions, fais le moi savoir. |
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